A l'origine...
La Pole dance est une forme de danse-gymnastique alliant force, endurance, souplesse et sensualité.
Elle serait née dans les années 20 au Canada chez les forains qui se déplaçaient souvent. Ce sport s'est développée autour des barres (pole en anglais) qui soutenaient leurs petites tentes. Ces filles qu'on appelait Hoochie-Coochie dancers, divertissaient les hommes et ont commencé à s'en servir comme appui pour une danse assez suggestive. Elles ont commencé a créer des shows de plus en plus spectaculaires. |
La Pole Dance puise ses origines dans certains arts comme le "mât chinois " ou le " le Mallakhamb " qui est la Pole dance Indienne qui est toujours pratiqué de nos jours. La différence est le mât en bois qui a un diamètre assez conséquent.
Quand la Pole Dance s'est développée dans les bars avec l'arrivée du burlesque dans les années 50, la barre et la stripteaseuse étaient indisociable. Elles utilisent alors la barre comme simple appui et ne faisaient pas de véritable figure. La Pole Dance souffre encore de nos jours de cette image.
La Pole Dance a commencé a devenir populaire dans les années 70-80, le public commence a accepté cette nouvelle discipline. Elle se concentre aux USA et au Canada, se développe en Angleterre et en Australie où elle a connu un grand succès.
La première à exploiter ce nouvel art est Fawnia Mondey, danseuse canadienne, qui commence à enseigner à des femmes n’ayant rien à voir avec l’univers artistique, ni avec le monde de la nuit et du "charme" dans les années 90. Elle produit également le premier DVD pédagogique de pole dance. Elle enseigne toujours la Pole Dance en Floride.
Peu à peu, d’autres danseuses comme Tammy Morris, Kelly Kayne ou Katie Coates (Angleterre) suivent l’exemple de Fawnia. Chacune avec son propre style, ces danseuses et acrobates vont se battre avec le sourire, la bonne humeur et d’incontestables qualités physiques pour faire sortir la pole dance des clubs de strip-tease et la faire reconnaître pour ce qu’elle est: une fabuleuse manière de développer sa musculature et sa souplesse, en même temps que sa sensibilité artistique et sa confiance en soi, tout en s’amusant et en assumant mieux sa sensualité et sa féminité.
Aujourd'hui, cette discipline est accessible aux hommes. Elle s'est diversifier dans le fitness ou la gymnastique. Les mouvements de transitions sont les même qu'en GRS.
Les figures ont reçu des noms, la danse s'est codifié pour faciliter le travail des chorégraphies, pour le juges lors des compétitions. Leurs noms peut variés d'une école a l'autre ou d'un pays a l'autre. C’est un choix qui ne favorise pas une codification mondiale, qui ouvrirait enfin la voie à une officialisation de la discipline, et donc à son acceptation en tant qu’art et en tant que sport à part entière, loin de toute stigmatisation d’un autre âge.
Heureusement, quelques organisations internationales, et notamment la PFA ou Pole Fitness Association, l’ont bien compris. La PFA travaille activement aujourd’hui, non seulement à la promotion de l’activité, mais aussi à sa professionnalisation par une codification précise et soigneusement pensée, ainsi que par une formation sérieuse et complète des enseignants.
Sources Pole Dance Paris
Quand la Pole Dance s'est développée dans les bars avec l'arrivée du burlesque dans les années 50, la barre et la stripteaseuse étaient indisociable. Elles utilisent alors la barre comme simple appui et ne faisaient pas de véritable figure. La Pole Dance souffre encore de nos jours de cette image.
La Pole Dance a commencé a devenir populaire dans les années 70-80, le public commence a accepté cette nouvelle discipline. Elle se concentre aux USA et au Canada, se développe en Angleterre et en Australie où elle a connu un grand succès.
La première à exploiter ce nouvel art est Fawnia Mondey, danseuse canadienne, qui commence à enseigner à des femmes n’ayant rien à voir avec l’univers artistique, ni avec le monde de la nuit et du "charme" dans les années 90. Elle produit également le premier DVD pédagogique de pole dance. Elle enseigne toujours la Pole Dance en Floride.
Peu à peu, d’autres danseuses comme Tammy Morris, Kelly Kayne ou Katie Coates (Angleterre) suivent l’exemple de Fawnia. Chacune avec son propre style, ces danseuses et acrobates vont se battre avec le sourire, la bonne humeur et d’incontestables qualités physiques pour faire sortir la pole dance des clubs de strip-tease et la faire reconnaître pour ce qu’elle est: une fabuleuse manière de développer sa musculature et sa souplesse, en même temps que sa sensibilité artistique et sa confiance en soi, tout en s’amusant et en assumant mieux sa sensualité et sa féminité.
Aujourd'hui, cette discipline est accessible aux hommes. Elle s'est diversifier dans le fitness ou la gymnastique. Les mouvements de transitions sont les même qu'en GRS.
Les figures ont reçu des noms, la danse s'est codifié pour faciliter le travail des chorégraphies, pour le juges lors des compétitions. Leurs noms peut variés d'une école a l'autre ou d'un pays a l'autre. C’est un choix qui ne favorise pas une codification mondiale, qui ouvrirait enfin la voie à une officialisation de la discipline, et donc à son acceptation en tant qu’art et en tant que sport à part entière, loin de toute stigmatisation d’un autre âge.
Heureusement, quelques organisations internationales, et notamment la PFA ou Pole Fitness Association, l’ont bien compris. La PFA travaille activement aujourd’hui, non seulement à la promotion de l’activité, mais aussi à sa professionnalisation par une codification précise et soigneusement pensée, ainsi que par une formation sérieuse et complète des enseignants.
Sources Pole Dance Paris